dans le titre de l'independant y a comme une erreur
Rugby à XV: L’avenir évoqué hier à Canet au Congrès fédéral de la grogne
Il y a de la démission dans l’air ! Au lendemain du Congrès annuel, qui s’est déroulé hier à Canet-en-Roussillon, et alors que le comité directeur de la FFR XIII se réunit ce matin pour la deuxième fois en deux jours dans la station balnéaire catalane, le vice-président Nicolas Larrat, le secrétaire général Yves Gibert, et le DTN Jean-Eric Ducuing, parlent sérieusement de rendre leurs tabliers respectifs.
Un signe, déjà, ne trompe pas : le premier, absent hier des débats, avait quitté prématurément la réunion du comité directeur de la veille au soir, arguant notamment du fait que le président Jean-Paul Ferré se refuse à présenter le XIII de France à l’appétit des Kangourous australiens, en octobre prochain. Or, l’avocat toulousain est (ou plutôt, était ?) le chef de file de la Commission de Contrôle de Gestion et d’Aide aux Clubs d’Elite (CCGACE).
A ce titre, il regrette vivement que "trop peu de clubs" (Toulouse, Saint-Gaudens, Carcassonne, Limoux, Pia, et Villeneuve-sur-Lot en partie) aient respecté le délai imparti (30 avril) pour la communication de tous les documents nécessaires à l’appréciation de leur situation financière.
Et M° Larrat de pointer un doigt accusateur en direction de ceux qu’il considère comme étant les mauvais élèves de la classe Elite : "veulent-ils réellement se donner les moyens de réussir ?"
Yves Gibert, lui, avait dès hier matin fait partiellement l’objet d’un vote de défiance, de la part d’une douzaine de clubs n’ayant pas approuvé la lecture de son rapport moral. Preuve que pour certains toutes les vérités ne seraient pas bonnes à dire, le Carcassonnais ayant évoqué publiquement "le camp du chacun pour soi", "les puristes" lui faisant "penser de plus en plus à des anciens combattants", "les stades manquant de public", "l’absence d’une Coupe du monde", et le fait qu’en 2002-2003 "délégués et arbitres aient accompli leur devoir avec parfois beaucoup de difficultés".
Carpentras : non à l’Elite. Tout n’est pourtant pas négatif, dans le paysage treiziste français, aux yeux d’un secrétaire général se félicitant par exemple du fait que le Ministère des Sports ait ratifié le projet concernant les centres de formation des joueurs pros.
On devrait en savoir un peu plus sur la position des uns et des autres, dans les heures ou les jours qui viennent, mais, en attendant, l’heure était au travail, hier, dans les différents ateliers, celui de l’Elite ayant dévoilé ses intentions, pour 2004.
La poule comprendra dix clubs (Carpentras s’engagera en Nationale 1, et sera remplacé à l’étage supérieur soit par Lyon-Villeurbanne, soit par Châtillon-Nanterre, tous les deux candidats, qui ont jusqu’au 20 juillet pour déposer leur dossier, la décision étant prise dix jours plus tard), la finale aura lieu le samedi 10 juillet à 20h30 dans un lieu restant à désigner, au terme de play-off nouvelle formule .
Preuve qu’en dépit de certaines viscissitudes, on n’est pas décidé, parmi les clubs d’Elite, à faire du sur place.
H.G
peut on mettre sur un forum un article ou faut il donner uniquement le
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LE CONGRES
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SUITE ....Rugby à XIII: le Congrès n’a pas dissipé le malaise
La morosité ambiante a flotté sur le 61e Congrès de la fédération française, qui s’est tenu à Canet-en-Roussillon. L’heure, pourtant, devrait être au rassemblement des forces vives du mouvement, car il y a du pain sur la planche.
Qu’on le veuille ou non - et nombreux sans doute sont ceux qui, hélas, le veulent - le Congrès fédéral 2003 laissera des traces. Certes, la démission du vice-président Nicolas Larrat - injoignable hier - n’est peut-être pas irréversible. Certes, encore, celle du secrétaire général Yves Gibert "n’est pas d’actualité", selon ses propres termes. Certes, enfin, le retrait du DTN Jean-Eric Ducuing ("je rencontrerais le président Ferré dans les quinze jours à venir pour discuter avec lui d’un éventuel départ", dit-il) n’est probablement que momentanée.
Mais, qu’on ne s’y trompe pas : sur le rendez-vous de Canet-en-Roussillon a flotté un malaise dont le mouvement treiziste aurait été bien inspiré de faire l’économie. On veut bien croire que la perspective des élections fédérales, prévues dans un an, n’est pas étrangère à ces diverses sautes d’humeur, même si l’on prête à Jean-Paul Ferré l’intention de ne pas se représenter, mais à l’heure où les clubs d’Elite se serrent plus que jamais les coudes pour faire avancer les choses vers davantage de professionalisme, et à quatre mois d’une première Coupe d’Europe des six nations susceptible d’engendrer de nouveaux progrès de la part du XIII de France, on aurait aimé davantage de solidarité. Mais le petit monde du XIII est ainsi fait : les aigris, les rêveurs, les spécialistes de la démolition systématique, sont toujours un frein à davantage d’avancées, quand bien même tout ne serait pas parfait, loin s’en faut, au sein de l’équipe dirigeante en place. Et l’espoir viendra de ceux qui n’hésiteront pas à tendre à l’autre la main. Pierre Soubiran, est dans cette logique, et Jean-Paul Ferré prête visiblement une oreille attentive aux orientations souhaitées par l’ancien président de Villeneuve-sur-Lot.
Voilà pour le fond. En ce qui concerne la forme, l’assemblée générale ayant clôturé le Congrès nous a appris entre autres que la finale du championnat Elite se déroulera à Toulouse, que le système des mutations de club à club reste en l’état, que la pression financière fédérale sur les clubs sera moins forte, qu’un hebdomadaire toulousain consacré au rugby pourrait ouvrir ses colonnes au XIII, que la phase aller du championnat junior Elite (une poule de 9) s’étalera de septembre à novembre, les matches retour ayant lieu en ouverture des matches seniors Elite, à partir de décembre, que Richard Frileux réintègrera le giron des arbitres, qu’une compétition inter-ligues seniors sera mise sur pieds...
Allez, au travail !
LA LIGUE D'ILE DE FRANCE SE REUNIT CE SOIR 20 H 30
DANS SES NOUVEAUX LOCAUX DES ULIS
La morosité ambiante a flotté sur le 61e Congrès de la fédération française, qui s’est tenu à Canet-en-Roussillon. L’heure, pourtant, devrait être au rassemblement des forces vives du mouvement, car il y a du pain sur la planche.
Qu’on le veuille ou non - et nombreux sans doute sont ceux qui, hélas, le veulent - le Congrès fédéral 2003 laissera des traces. Certes, la démission du vice-président Nicolas Larrat - injoignable hier - n’est peut-être pas irréversible. Certes, encore, celle du secrétaire général Yves Gibert "n’est pas d’actualité", selon ses propres termes. Certes, enfin, le retrait du DTN Jean-Eric Ducuing ("je rencontrerais le président Ferré dans les quinze jours à venir pour discuter avec lui d’un éventuel départ", dit-il) n’est probablement que momentanée.
Mais, qu’on ne s’y trompe pas : sur le rendez-vous de Canet-en-Roussillon a flotté un malaise dont le mouvement treiziste aurait été bien inspiré de faire l’économie. On veut bien croire que la perspective des élections fédérales, prévues dans un an, n’est pas étrangère à ces diverses sautes d’humeur, même si l’on prête à Jean-Paul Ferré l’intention de ne pas se représenter, mais à l’heure où les clubs d’Elite se serrent plus que jamais les coudes pour faire avancer les choses vers davantage de professionalisme, et à quatre mois d’une première Coupe d’Europe des six nations susceptible d’engendrer de nouveaux progrès de la part du XIII de France, on aurait aimé davantage de solidarité. Mais le petit monde du XIII est ainsi fait : les aigris, les rêveurs, les spécialistes de la démolition systématique, sont toujours un frein à davantage d’avancées, quand bien même tout ne serait pas parfait, loin s’en faut, au sein de l’équipe dirigeante en place. Et l’espoir viendra de ceux qui n’hésiteront pas à tendre à l’autre la main. Pierre Soubiran, est dans cette logique, et Jean-Paul Ferré prête visiblement une oreille attentive aux orientations souhaitées par l’ancien président de Villeneuve-sur-Lot.
Voilà pour le fond. En ce qui concerne la forme, l’assemblée générale ayant clôturé le Congrès nous a appris entre autres que la finale du championnat Elite se déroulera à Toulouse, que le système des mutations de club à club reste en l’état, que la pression financière fédérale sur les clubs sera moins forte, qu’un hebdomadaire toulousain consacré au rugby pourrait ouvrir ses colonnes au XIII, que la phase aller du championnat junior Elite (une poule de 9) s’étalera de septembre à novembre, les matches retour ayant lieu en ouverture des matches seniors Elite, à partir de décembre, que Richard Frileux réintègrera le giron des arbitres, qu’une compétition inter-ligues seniors sera mise sur pieds...
Allez, au travail !
LA LIGUE D'ILE DE FRANCE SE REUNIT CE SOIR 20 H 30
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SUITE ..... ET FIN :?:
Nicolas Larrat évoque la crise à la FFR XIII
Il a mis les pieds dans le plat jeudi dernier, en prévenant le président de la FFR XIII, Jean-Paul Ferré, qu’il démissionnerait de son poste de vice-président le lendemain à Canet-en-Roussillon, lors du comité directeur précédant le Congrès, s’il n’était pas suivi dans son désir de réformer en profondeur le paysage treiziste français.
Et, de fait, Nicolas Larrat, vendredi soir, n’a pas attendu la fin de la réunion pour mettre - provisoirement ? - un terme à ses fonctions. Du coup, le jeune avocat toulousain n’a pas assisté au Congrès annuel de la fédération française, samedi , et hier, joint au téléphone, il nous a fait part de ses craintes, quant au devenir du mouvement. "Je suis effectivement démissionnaire, mais à la demande de quelques-uns des autres membres du Comité directeur, je n’ai pas encore envoyé ma lettre", explique d’abord celui qui attend un signe de la part de Jean-Paul Ferré, parti hier pour une semaine de vacances à l’étranger. Pour autant, Nicolas Larrat, qui a le soutien du secrétaire général de la FFR XIII, Yves Gibert, dont il loue "l’impressionnante capacité de travail", et du Directeur Technique National, Jean-Eric Ducuing, récemment nommé, "qui apprend vite et souhaite aller de l’avant", ne se berce guère d’illusions et envisage très sérieusement de rendre son tablier.
"Problème de système". "Je constate une absence de volonté de s’engager dans une politique d’action, de la part de Jean-Paul Ferré. Ce n’est pas un problème d’hommes, mais de système. Il nous faut entrer dans une autre logique de fonctionnement, et non pas nous recroqueviller sur nous-mêmes. J’estime par exemple que nous devrions accepter d’affronter l’Australie, à la demande de cette dernière, fin octobre 2003. On me dit d’attendre un an (NDLR : les nations de l’hémisphère sud et la Grande-Bretagne souhaiteraient voir la France participer au Tri-nations, qui seraient alors quatre, à l’automne 2004 en Grande-Bretagne, pour ce qui ressemblerait alors à unemini-Coupe du Monde), mais dans trois mois ou dans un an, je ne vois pas la différence. Nous irions certes au devant d’une lourde défaite, mais à ceux qui, pour ne pas risquer un nouvel affront, évoquent celui de 1995 (72-0) , je répondrais, en cas de plus cruel revers encore : qu’a-t-on fait en huit ans ?"
A l’heure où l’UTC se prépare à intégrer la Super League 2005, le vice-président de la FFR XIII est persuadé qu’aux yeux des nations majeures, tout est lié. Autrement dit, puisque la France sera à cette date dans une logique de haut niveau, l’équipe nationale, qui avait perdu avec les honneurs face à la Nouvelle-Zélande (dauphine, au même titre que la Grande-Bretagne, des Kangourous), en novembre dernier, doit sans attendre franchir le pas.
Et ne plus se contenter de rencontrer des rivaux à sa mesure. "D’autant plus que la crise internationale est latente, et que les nations majeures attendent, pour y remédier, un signe de notre part", souligne Me Larrat. Lequel constate "les progrès effectués par certains clubs français d’Elite, depuis deux ans"."Aussi un statut du joueur pro est-il aujourd’hui devenu indispensable", indique-t-il, conscient encore que "la locomotive ne peut être que l’équipe de France". Et pour alimenter celle-ci, les clubs sont en première ligne.
D’où l’attachement de Nicolas Larrat au projet de centres de formation proposé par le DTN, "car la solution ne passera pas par un nombre trop élevé de joueurs étrangers dans notre championnat". Il dit enfin "ne pas vouloir tout chambouler", simplement soucieux d’avancer plus vite que d’autres, au sein d’un comité directeur qui n’est peut-être pas à l’abri d’une future secousse. Comme des démissions en masse provoquant des élections anticipées ? On n’en est pas là, mais...
Hervé Girette
l'independant le journal du XIII :!:
Nicolas Larrat évoque la crise à la FFR XIII
Il a mis les pieds dans le plat jeudi dernier, en prévenant le président de la FFR XIII, Jean-Paul Ferré, qu’il démissionnerait de son poste de vice-président le lendemain à Canet-en-Roussillon, lors du comité directeur précédant le Congrès, s’il n’était pas suivi dans son désir de réformer en profondeur le paysage treiziste français.
Et, de fait, Nicolas Larrat, vendredi soir, n’a pas attendu la fin de la réunion pour mettre - provisoirement ? - un terme à ses fonctions. Du coup, le jeune avocat toulousain n’a pas assisté au Congrès annuel de la fédération française, samedi , et hier, joint au téléphone, il nous a fait part de ses craintes, quant au devenir du mouvement. "Je suis effectivement démissionnaire, mais à la demande de quelques-uns des autres membres du Comité directeur, je n’ai pas encore envoyé ma lettre", explique d’abord celui qui attend un signe de la part de Jean-Paul Ferré, parti hier pour une semaine de vacances à l’étranger. Pour autant, Nicolas Larrat, qui a le soutien du secrétaire général de la FFR XIII, Yves Gibert, dont il loue "l’impressionnante capacité de travail", et du Directeur Technique National, Jean-Eric Ducuing, récemment nommé, "qui apprend vite et souhaite aller de l’avant", ne se berce guère d’illusions et envisage très sérieusement de rendre son tablier.
"Problème de système". "Je constate une absence de volonté de s’engager dans une politique d’action, de la part de Jean-Paul Ferré. Ce n’est pas un problème d’hommes, mais de système. Il nous faut entrer dans une autre logique de fonctionnement, et non pas nous recroqueviller sur nous-mêmes. J’estime par exemple que nous devrions accepter d’affronter l’Australie, à la demande de cette dernière, fin octobre 2003. On me dit d’attendre un an (NDLR : les nations de l’hémisphère sud et la Grande-Bretagne souhaiteraient voir la France participer au Tri-nations, qui seraient alors quatre, à l’automne 2004 en Grande-Bretagne, pour ce qui ressemblerait alors à unemini-Coupe du Monde), mais dans trois mois ou dans un an, je ne vois pas la différence. Nous irions certes au devant d’une lourde défaite, mais à ceux qui, pour ne pas risquer un nouvel affront, évoquent celui de 1995 (72-0) , je répondrais, en cas de plus cruel revers encore : qu’a-t-on fait en huit ans ?"
A l’heure où l’UTC se prépare à intégrer la Super League 2005, le vice-président de la FFR XIII est persuadé qu’aux yeux des nations majeures, tout est lié. Autrement dit, puisque la France sera à cette date dans une logique de haut niveau, l’équipe nationale, qui avait perdu avec les honneurs face à la Nouvelle-Zélande (dauphine, au même titre que la Grande-Bretagne, des Kangourous), en novembre dernier, doit sans attendre franchir le pas.
Et ne plus se contenter de rencontrer des rivaux à sa mesure. "D’autant plus que la crise internationale est latente, et que les nations majeures attendent, pour y remédier, un signe de notre part", souligne Me Larrat. Lequel constate "les progrès effectués par certains clubs français d’Elite, depuis deux ans"."Aussi un statut du joueur pro est-il aujourd’hui devenu indispensable", indique-t-il, conscient encore que "la locomotive ne peut être que l’équipe de France". Et pour alimenter celle-ci, les clubs sont en première ligne.
D’où l’attachement de Nicolas Larrat au projet de centres de formation proposé par le DTN, "car la solution ne passera pas par un nombre trop élevé de joueurs étrangers dans notre championnat". Il dit enfin "ne pas vouloir tout chambouler", simplement soucieux d’avancer plus vite que d’autres, au sein d’un comité directeur qui n’est peut-être pas à l’abri d’une future secousse. Comme des démissions en masse provoquant des élections anticipées ? On n’en est pas là, mais...
Hervé Girette
l'independant le journal du XIII :!:
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Tchoupi
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- Enregistré le : 07 févr. 2003, 16:13
- Localisation : Dans la télé
Une analyse lucide de la situation...C'est Ferré qui doit démissionner, pas Larrat, qui semble avoir une visoin dynamique de l'avenir de notre discipline et qui a un vrai projet, qui ne consiste pas à sauvegarder les situations acquises et les privilèges de certains, mais à bousculer les choses pour relancer notre sport, qui si rien n'est fait rapidement, va mourir de sa belle mort...
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valerie
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Tchoupi a écrit :Une analyse lucide de la situation...C'est Ferré qui doit démissionner, pas Larrat, qui semble avoir une visoin dynamique de l'avenir de notre discipline et qui a un vrai projet, qui ne consiste pas à sauvegarder les situations acquises et les privilèges de certains, mais à bousculer les choses pour relancer notre sport, qui si rien n'est fait rapidement, va mourir de sa belle mort...
:sm31: Ok pour le projet de Mr LARRAT, mais surtout, pas au détriment de tous les autres clubs. Je sais bien que les clubs d'Elite et l'équipe de France sont l'image du rugby à XIII français, mais il ne faut pas qu'ils oublient que les clubs d'Elite et l'Equipe de france ne peuvent exister que grâce aux clubs de divisions inférieures & les Ecoles de Rugby...............
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Tchoupi
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- Localisation : Dans la télé
Développement de l'Elite et de la base vont de pair.
L'Elite est la vitrine de notre sport, et la création d'une ligue pro, à l'instar de ce qui se passe au foot ou à XV, va dans le bon sens, de façon à permettre à ces clubs de haut niveau de se structurer et d'avoir une approche professionnelle, afin d'éviter de trop grandes disparités entre équipes comme on l'a encore vu cette année.
Le développement de la base est complémentaire de cette politique, car il est nécessaire de disposer d'un réservoir important.
Certaines décisions qui pouraient être prises semblent aller dans le bon sens : réserver la Coupe Falcou aux équipes de DN3 et de Promotion, mettre en place une compétition fédérale inter-ligues .
L'élite et la base doivent être fortes pour permettre à notre sport de survivre...
L'Elite est la vitrine de notre sport, et la création d'une ligue pro, à l'instar de ce qui se passe au foot ou à XV, va dans le bon sens, de façon à permettre à ces clubs de haut niveau de se structurer et d'avoir une approche professionnelle, afin d'éviter de trop grandes disparités entre équipes comme on l'a encore vu cette année.
Le développement de la base est complémentaire de cette politique, car il est nécessaire de disposer d'un réservoir important.
Certaines décisions qui pouraient être prises semblent aller dans le bon sens : réserver la Coupe Falcou aux équipes de DN3 et de Promotion, mettre en place une compétition fédérale inter-ligues .
L'élite et la base doivent être fortes pour permettre à notre sport de survivre...